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L’entrée dans les écoles de formation initiale se fait par : voie de concours pour les nationaux ; analyse de dossiers pour les candidats étrangers, les candidats des confessions religieuses, les candidats des Forces Armées de Côte d’Ivoire (FACI) et les candidats des entreprises privées. Les concours sont ouverts chaque année aux jeunes ivoiriens et ivoiriennes, âgés (es) de 18 ans au moins et de 30 ans au plus au 1er janvier de la date du concours et titulaires d’un baccalauréat. Les candidats admis aux concours bénéficient d’une bourse de l’Etat d’un montant de quarante-neuf mille cinq cent francs (49 500 fr CFA) durant la période de formation, renouvelable une seule fois durant leurs cursus à l’INFAS.
BAC
Au sein de l’hôpital, l’infirmier et l'infirmière sont un maillon important de l’équipe médicale. Il doit être capable d’apporter son concours à l’élaboration d’un diagnostic. Il procède aux soins spécifiques et d’hygiène nécessités par l’état de santé du malade : prise de la tension et de la température, pose de pansements, prélèvements sanguins et injections, préparation et distribution des médicaments, préparation du patient pour le bloc opératoire... L'infirmier assure également des tâches administratives : suivi des dossiers médicaux... Il fait le lien entre le malade et le milieu hospitalier. Il se doit d’être à l’écoute, de rencontrer les familles, d’assurer un accompagnement et un suivi psychologique. Le métier est éprouvant physiquement et psychologiquement. L’organisation du travail implique une présence permanente auprès des malades. Le travail de nuit et pendant le week-end est une des caractéristiques du métier.
Au sein de l’hôpital, l’infirmier et l'infirmière sont un maillon important de l’équipe médicale. Il doit être capable d’apporter son concours à l’élaboration d’un diagnostic. Il procède aux soins spécifiques et d’hygiène nécessités par l’état de santé du malade : prise de la tension et de la température, pose de pansements, prélèvements sanguins et injections, préparation et distribution des médicaments, préparation du patient pour le bloc opératoire... L'infirmier assure également des tâches administratives : suivi des dossiers médicaux... Il fait le lien entre le malade et le milieu hospitalier. Il se doit d’être à l’écoute, de rencontrer les familles, d’assurer un accompagnement et un suivi psychologique. Le métier est éprouvant physiquement et psychologiquement. L’organisation du travail implique une présence permanente auprès des malades. Le travail de nuit et pendant le week-end est une des caractéristiques du métier. Si 85 % des infirmiers travaillent en hôpital, établissement public ou privé, certains ouvrent un cabinet en libéral (2 000 à 3 000 par an) d'autres exercent dans les établissements scolaires, dans des structures de médecine du travail ou autres types de structures (maisons de retraite, centres de réadaptation, centres anti-cancéreux ou de soins palliatifs), dans des entreprises (EDF, secteur du bâtiment et des travaux publics). Le métier est très féminisé : 87 % des infirmiers sont des femmes
La profession de sage-femme est une profession médicale spécifique réglementée par le code de la santé publique et le code de déontologie des sages-femmes. La sage-femme (ou le maïeuticien ou homme sage-femme, mais les hommes ne représentent que 2,6% des effectifs !) est une spécialiste des grossesses normales. Elle suit les femmes enceintes dont elle a la charge, du diagnostic de la grossesse jusqu'au jour de l'accouchement. Au fil des mois, elle anime des séances de préparation à la naissance (exercices de relaxation, sophrologie, yoga…), prescrit et effectue tous les examens nécessaires, apporte son soutien psychologique aux futures mères. Responsable du déroulement de l’accouchement, c'est elle qui pose le diagnostic du début du travail, dont elle suit l’évolution. Aidée de technologies de pointe (monitoring, échographies…), la sage-femme assure seule la plupart des accouchements (75% des cas). Si des complications surviennent, elle doit agir très vite pour faire appel au gynécologue-obstétricien ou au chirurgien. Après l’accouchement, elle s’occupe du nouveau-né, vérifie qu’il soit en bonne santé et accomplit les gestes de réanimation si nécessaire.
La profession de sage-femme est une profession médicale spécifique réglementée par le code de la santé publique et le code de déontologie des sages-femmes. La sage-femme (ou le maïeuticien ou homme sage-femme, mais les hommes ne représentent que 2,6% des effectifs !) est une spécialiste des grossesses normales. Elle suit les femmes enceintes dont elle a la charge, du diagnostic de la grossesse jusqu'au jour de l'accouchement. Au fil des mois, elle anime des séances de préparation à la naissance (exercices de relaxation, sophrologie, yoga…), prescrit et effectue tous les examens nécessaires, apporte son soutien psychologique aux futures mères. Responsable du déroulement de l’accouchement, c'est elle qui pose le diagnostic du début du travail, dont elle suit l’évolution. Aidée de technologies de pointe (monitoring, échographies…), la sage-femme assure seule la plupart des accouchements (75% des cas). Si des complications surviennent, elle doit agir très vite pour faire appel au gynécologue-obstétricien ou au chirurgien. Après l’accouchement, elle s’occupe du nouveau-né, vérifie qu’il soit en bonne santé et accomplit les gestes de réanimation si nécessaire. Elle surveille aussi le rétablissement de la mère, puis la conseille sur l’allaitement et l’hygiène du bébé. La sage-femme peut aussi assurer le suivi gynécologique (prescription de moyens de contraception, contraceptif, pose de stérilet et implant, avortement médicamenteux...). L'activité de la sage-femme ne se limite pas à des gestes techniques : elle a aussi un rôle relationnel très important. Elle doit savoir expliquer à la future mère comment vont se dérouler les étapes successives, la rassurer et associer le père à ce moment important. Mais le rôle de la sage-femme ne se limite pas à la grossesse. La sage-femme a aussi les compétences nécessaires pour assurer au quotidien le suivi gynécologique des femmes (contraception, diagnostic de grossesse, rééducation périnéale, IVG médicamenteuse) ... Cette profession implique de lourdes responsabilités et des conditions de travail souvent difficiles : horaires irréguliers, gardes de nuit, stress… Une grande résistance à la fatigue physique et nerveuse est donc nécessaire. La plupart des sages-femmes travaillent à l'hôpital ou dans une clinique privée (80%). Quelques-unes exercent en libéral (16%), ou dans un centre de PMI (protection maternelle et infantile) ou de planification familiale (4%). Dans ce cas, leur activité se concentre davantage sur la prévention et la pédagogie.
Cette section enseignée à l’INFAS avec cinq filières :